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L’élimination du dioxyde de carbone est importante. Dès maintenant.

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Le dérèglement climatique est bel et bien réel. Les émissions de gaz à effet de serre (GES) sont plus importantes que jamais.

À cause de l’accumulation de CO₂ dans l’air, l’atmosphère terrestre s’est réchauffée d’environ 1°C depuis l’ère préindustrielle et ses effets se font sentir dans le monde entier, mais pas de manière uniforme.

Dans les Accords de Paris de 2015, les dirigeant·es de 195 pays se sont fixé pour objectif de limiter l’augmentation de la température moyenne mondiale à 1,5 °C par rapport aux niveaux préindustriels. Cela permettra de réduire – sans pour autant l’éviter complètement – le risque de phénomènes météorologiques extrêmes, d’extinction d’espèces, de contraintes en matière d’approvisionnement alimentaire et d’autres impacts environnementaux, sociétaux et sanitaires.

Pour réaliser l’objectif de 1,5 °C, les émissions doivent être réduites rapidement au cours de la présente décennie et nous devons atteindre un niveau « zéro net », encore appelé « neutralité carbone », d’ici 2050.

Or, même si nous accomplissons d’importants progrès en matière de réduction des émissions, il en subsistera encore. Pour atteindre le niveau zéro à cette échelle de temps, il faut donc éliminer d’importantes quantités de CO₂ de notre atmosphère.

Faisons de notre mieux pour réduire les émissions,

et éliminons le reste !

Swiss Re : L'assurance au service des solutions d'élimination du carbone

Notre objectif

Il faut éliminer le dioxyde de carbone…

Selon les scientifiques, nous devrons éliminer environ 10 gigatonnes (soit 10 000 000 000 de tonnes) de CO₂ par an pour atteindre nos objectifs de neutralité carbone d’ici 2050.

Actuellement, la quasi-totalité de l’élimination du carbone (EDC) provient de la gestion des terres, comme le reboisement. Bien que cruciale, cette méthode a ses limites : elle n’est pas permanente (par exemple, les arbres peuvent brûler), et sa capacité est limitée en termes d’espace.

Pour combler le déficit d’EDC, il faudrait que les nouvelles technologies d’EDC se développent rapidement, d’un facteur d’au moins 5 000, selon des calculs récents. Les méthodes les plus récentes comprennent : la bioénergie avec captage et stockage du carbone (BECSC ou, en anglais, BECCS), le captage direct de l’air avec stockage du carbone (DACCS), l’amélioration de l’altération des roches ou le biochar.

...pour toujours

L’élimination pérenne du CO₂ signifie que celui-ci doit être stocké pendant des milliers, voire des millions d’années, et que le risque d’inversion est minime, voire nul.

Il existe de nombreuses méthodes de réduction des émissions en cours de développement de plus en plus en pratiques, viables, et qui présentent toutes des avantages. Toutefois, la minéralisation, sur laquelle repose le processus de neustark, est l’une des rares technologies qui garantissent une élimination permanente du dioxyde de carbone.

maintenant et sur le long terme.

Le dioxyde de carbone étant tellement présent dans tout ce que nous utilisons et faisons, il est très probable que nous ne pourrons jamais éliminer complètement certaines sources d’émission, par exemple dans l’industrie lourde, l’aviation ou l’agriculture.

Pour ces émissions inévitables, nous avons également besoin d’éliminer le CO2 au-delà de 2050.

Nous devons donc développer l'EDC dès maintenant.

Pour combler ce fossé, il est nécessaire d’adopter une approche systémique comprenant des technologies, des politiques et des investissements d’envergure afin de créer un marché de l’élimination du carbone fiable et efficace, à grande vitesse et à grande échelle.

Cela tombe bien : diverses solutions d’EDC pouvant contribuer à résoudre ce défi mondial ont déjà été mises au point.

Encore mieux : certaines solutions, comme la technologie de minéralisation de neustark, ont déjà été développées et déployées. Et nous éliminons déjà le CO₂ aujourd’hui. Il s’agit maintenant de potentialiser ces solutions, rapidement et efficacement.

L’ambition de neustark

Nous avons développé et déployé une solution qui permet d’éliminer le dioxyde de carbone de façon permanente. Cette solution a un impact dès aujourd’hui, et en aura encore plus demain.

Nous augmentons actuellement notre portée (nombre de sites) et notre impact (nombre de tonnes stockées) à mesure que nous avançons vers notre but : l’élimination permanente d’un million de tonnes de CO₂ en 2030 et au-delà.

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FAQs

  • L’élimination du dioxyde de carbone (EDC), communément appelée élimination du carbone, est un processus qui consiste à extraire le dioxyde de carbone de l’atmosphère et à le séquestrer (c’est-à-dire à le stocker) de manière inoffensive dans des réservoirs géologiques, terrestres ou océaniques , également connus sous le nom de puits de carbone naturels, ou à utiliser le CO₂ à d’autres fins, où il est stocké de manière permanente.

  • La quantité d’EDC dont nous aurons besoin dépendra des décisions que nous prendrons : entre autres, dans quelle mesure nous voulons limiter l’augmentation de la température mondiale, dans quelle mesure nous voulons et pouvons réduire les émissions, et surtout, dans quel délai.

    Le rapport spécial du GIEC souligne que pour limiter le réchauffement global à 1.5°C, il est absolument nécessaire d’éliminer le CO₂ et les autres gaz à effet de serre. L’ordre de grandeur correspond à environ 100-1000 milliards de tonnes de CO₂ pour le seul 21e siècle.

    Voir le diagramme ci-dessous : Ordre de grandeur nécessaire pour l’élimination du CO₂ dans le cas d’une trajectoire d’émissions de 1.5°C (source de données : Network for Greening the Financial System Scenario Explorer. Modèle : REMIND-MAgPIE 1.7-3.0 ; fourni par IIASA).

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  • Il existe un ensemble de méthodes d'élimination du CO2 , également appelées technologies à émissions négatives (NET), qui utilisent des approches biologiques ou technologiques pour extraire le carbone de l'atmosphère et le stocker de manière plus ou moins permanente.

    Pour l’essentiel, le CO₂ peut être capturé dans la biomasse (par photosynthèse) ou par voie chimique (par filtration de l'air ou séquestration minérale). Le CO₂ peut ensuite être stocké dans la biomasse à la surface de la terre (par exemple dans le bois), dans le sol, dans le sous-sol géologique, dans les minéraux ou dans les fonds marins.

    Pour que ces technologies génèrent des émissions négatives d'une ampleur suffisante pour influencer fortement le changement climatique, le CO₂ doit être stocké sur une longue période, de préférence pendant des milliers, voire des millions d'années.

    Le CO₂ stocké dans la biomasse forestière ou dans l'humus est plus susceptible d'être remis en suspension dans l'air que le CO₂ stocké profondément sous terre ou dans des minéraux. Les événements exceptionnels tels que les incendies de forêt ou le travail intensif du sol en sont un exemple.

    Il est donc nécessaire de miser davantage sur une élimination du CO2 basée sur la
    technologie tout en utilisant les puits de carbone naturels historiques. Pourquoi? Parce que la séquestration naturelle a ses limites, tant en termes de permanence que de capacité. Il y a un besoin évident d'une élimination supplémentaire du CO2 basée sur la technologie, dont le potentiel existe à grande échelle.

  • Les recherches actuelles montrent qu'il n'existe pas "une" solution qui pourrait être utilisée à grande échelle pour éliminer des centaines de gigatonnes de CO₂ de l'atmosphère d'ici la fin du siècle.

    Certaines méthodes d'élimination du CO₂ en sont à un stade de développement très précoce, d'autres sont plus établies. Elles diffèrent par leur coût, par la quantité de CO₂ qui peut être éliminée et par les ressources nécessaires (comme la terre, l'eau et l'énergie). Certaines comportent des risques, comme le coût de la conversion des terres et la perte de biodiversité, surtout si elles sont utilisées à très grande échelle. D'autres apportent des avantages supplémentaires, par exemple la production d'énergie, la promotion de la biodiversité ou la création de matériaux utiles. Certains ne se révéleront pas utiles lors du passage à l'échelle. Il est toutefois important de noter qu'il existe encore une grande marge d'innovation et d'amélioration.

    La réponse réside dans la bonne combinaison - et l'accent mis sur les solutions qui sont à la fois écologiquement et économiquement réalisables et qui peuvent avoir un impact significatif au cours de la prochaine décennie.

  • L' EDC (CDR) élimine de l'atmosphère le CO₂ produit par les émissions passées - ce qui nous permet d'éliminer à la fois les émissions historiques et les émissions résiduelles inévitables d'aujourd'hui et de demain.

    Le CSC évite que le CO₂ ne passe dans l'atmosphère et est donc une méthode qui se concentre avant tout sur la réduction des émissions.

  • Neustark s’approvisionne en CO2 auprès d’installations de biogaz et le stocke durablement dans du béton de démolition.

    Le CO₂ provenant des installations de biogaz est du CO₂ biogène : si le CO₂ était libéré dans l’atmosphère par les installations de biogaz, le processus serait en soi neutre en termes de CO₂ car les plantes brûlées dans le processus ont déjà absorbé du CO₂ plus tôt dans leur cycle de vie.

    En captant et en stockant le CO₂ biogène, neustark transforme des émissions neutres en émissions négatives.

Comment fonctionne notre solution ?

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