Non. Le processus de minéralisation, au cœur de la technologie de neustark, permet un stockage durable du CO₂. Il est scientifiquement prouvé que la part de CO₂ stockée par minéralisation qui sera encore présente après 1000 ans sera virtuellement de 100%. Même si le béton dans lequel le CO₂ est stocké est démoli à plusieurs reprises, le CO₂ ne sera pas libéré à nouveau dans l’atmosphère.
Il existe de nombreuses technologies d’émission négative (NET) qui sont viables en théorie et, de plus en plus, dans la pratique. Elles ont toutes leurs avantages, mais la minéralisation, sur laquelle repose le procédé de neustark, est l’une des rares technologies à garantir une élimination véritablement durable du CO₂.